B-Editions http://www.b-editions.com Fri, 01 Apr 2016 07:45:42 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.9.20 My little Paris http://www.b-editions.com/?p=950 http://www.b-editions.com/?p=950#comments Fri, 04 Mar 2016 10:25:54 +0000 http://www.b-editions.com/?p=950 Site « My Little Book Club » :

Soirée littéraire aux Folies Bergère
Paris, oh Paris. Avec tes cabarets emplumés, tes cocottes aux lèvres rouges et tes lumières nocturnes. Avec tes dames en manteau de fourrure, tes frasques et tes ruelles pleines de parfum. On veut plonger dans tes lignes, danser sur tes mots, te rouler des pelles sans voyelles. Vite, vite, un livre qui nous plonge dans les Années Folles. On la : le deuxième tome des Brumes de Grandville

Pour fêter le lancement de son dernier roman, Gwendoline Finaz de Villaine organise une soirée privée aux Folies Bergère le 7 mars à 20h30. Et pour l’occasion 100 lecteurs de My Little Book Club recevront une invitation pour deux personnes. Inscrivez-vous vite ici. Il y aura du froufrou, une revue glamrock, et des bulles de champ’ qui désapent.

Pour commander le roman qui nous plonge dans le Paris d’après-guerre, c’est ici et pour tenter de gagner une invitation pour la soirée privée aux Folies Bergère c’est là.

 

http://www.mylittlebookclub.fr/soiree-litteraire-au-folies-bergere.html

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The school of life http://www.b-editions.com/?p=939 http://www.b-editions.com/?p=939#comments Tue, 01 Mar 2016 15:45:05 +0000 http://www.b-editions.com/?p=939 Article du 28 février 2016

Newsletter « The school of life » :

Cette femme nous a scotchés.

De temps en temps, on vous partage le portrait d’une rencontre qui nous inspire…

- Elle est lumineuse.

- Elle a vécu en Chine, en Corée du Sud, aux Etats-Unis, en France, et en Allemagne.

- Elle est maman de deux tout petits mais elle est déjà remontée sur les planches.

- Elle est passée par les bancs des écoles françaises les plus prestigieuses mais a choisi un parcours loin des sentiers battus.

- Elle ne trouvait pas le job des ses rêves alors elle l’a créé sur-mesure : performeuse, meneuse de revue, scénariste de comédies musicales, compositeure, pianiste, chanteuse lyrique et romancière.

- Elle est l’auteure de la saga « Les Brumes de Grandville » qui fait un carton en librairie.

 

Et au lieu de faire un petit cocktail plan-plan pour le lancement des « Folies de Paris », le tome II des « Brumes de Grandville », Gwendoline Finaz de Villaine a loué les Folies Bergère (rien que ça !) pour une soirée d’anthologie le 7 mars prochain.

Au programme : une revue Années Folles tout droit sortie de son imagination, un exemplaire du tome I offert à chaque invité, des breuvages enivrants et une plongée dans l’univers rétro et sensuel de cette histoire brillante, savant mélange d’Autant en emporte le vent, de Twilight, de Jane Eyre et de Downton Abbey.

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Autant en emporte les livres http://www.b-editions.com/?p=893 http://www.b-editions.com/?p=893#comments Thu, 19 Nov 2015 09:45:24 +0000 http://www.b-editions.com/?p=893 Avis du blog « Autant en emporte les livres » :

J’ai acquis ce livre grâce à un concours organisé par Rebecca, du blog Les lectures de Rebecca, que je remercie énormément, car sans elle je n’aurais peut-être pas découvert ce merveilleux roman.

L’intrigue m’a tout de suite captivé. Les histoires de vieux manoirs hantés j’adore. Alors, quand il y a aussi une histoire d’amour à la clé, j’aime encore plus.
Comme je vous l’annonçais dans le résumé, on va suivre Apolline, jeune fille passionnée de musique, qui va être embauchée pour donner des cours de piano et de chant aux filles de la comtesse de Montfaucon. Elle tombe vite sous le charme du fils de la comtesse, Hector, de retour du front. Jusque là rien de bien original, sauf qu’un soir, Apolline entend dans sa chambre la voix mystérieuse d’un jeune homme qu’elle ne peut pas voir, mais qui l’obsède. Cet esprit la met vite en garde contre certaines personnes du château qui ne semblent pas aussi honnêtes qu’elles en ont l’air.

J’avais lu pas mal de chroniques assez négatives sur ce livre, je ne partais donc pas très optimiste.
Pourtant, je l’ai dévoré en deux jours. Ce qui semblait être qu’une banale histoire d’amour sur fond de présences fantomatiques, est en réalité bien plus que cela.
La révélation de l’esprit est bouleversante car on ne s’y attend pas, enfin, moi du moins je ne m’y attendais pas. Elle chamboule toute l’histoire, qui commence vraiment à partir de là.

Le style d’écriture de l’auteure reste simple mais captivant. Elle arrive à recréer l’ambiance et le visage de la France au lendemain de la première guerre mondiale. Le retour des hommes est bien souvent difficile. Certains sont défigurés ou ont changé psychologiquement car ils sont traumatisés. Les femmes pendant ce temps n’ont pas eu non plus la vie facile, car elles ont dû supporter seules les charges de la vie quotidienne. Le peuple qui a perdu une bonne partie de ses citoyens pêne à se remettre. Les riches n’ont pas été épargnés par cette guerre, la demeure des Grandville en est la preuve. C’est dans une famille bouleversée qu’Apolline va mettre les pieds. D’autant qu’elle doit rester sur ses gardes dans cette grande demeure mansardée aux recoins sombres, qui contrastent avec le bel apparat des appartements de la comtesse.

C’est un livre qui se lit tout seul, où l’on ne s’ennuie pas. Je n’ai pas vu les pages d’effiler. On s’attache aux personnages, surtout aux domestiques du château comme Apolline ou encore son amie Mathilde qui sont des personnes simples, honnêtes et qui n’aspirent qu’à oublier cette guerre et vivre comme des jeunes filles de leur âge. Enfin, j’ai été charmé bien sûre par cette voix venue d’outre tombe, qui ne semble pas vouloir de mal à la jeune fille, bien au contraire. On a tout de suite confiance en lui et on veut savoir qui il est, pourquoi il est là et ce qu’il veut à Apolline.

Pour conclure:
Un roman captivant du début à la fin, dont le dernier chapitre nous laisse stupéfait. J’attends donc la suite avec impatience.

Ma note: 19/20.

http://autantenemporteleslivres.blogspot.fr/

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Books are amazing http://www.b-editions.com/?p=883 http://www.b-editions.com/?p=883#comments Wed, 08 Apr 2015 10:40:04 +0000 http://www.b-editions.com/?p=883 Avis du blog « Books are amazing » :

Apollonie est engagée comme professeur de musique au château de Grandville, une magnifique propriété dans laquelle elle ne tarde pas à faire une découverte fracassante : le fils prodigue rentré en héros de la guerre 1914-1918 est un imposteur et le véritable Hector est bloqué entre la vie et la mort. Apollonie n’a pas le choix, elle va tout faire pour sauver l’homme qu’elle aime et vivre enfin heureuse.
J’ai découvert ce formidable roman à partir de 13 ans grâce à l’une de mes collègues que j’apprécie beaucoup et qui m’a toujours conseillé de très bons livres. Elle me l’avait vendu comme un livre assez fleur bleue et elle avait totalement raison. Ce roman raconte l’histoire d’amour impossible entre une jeune orpheline et le fantôme d’un riche héritier. Ce qui est assez intéressant, au-delà de la simple amourette à la Roméo et Juliette, c’est le fonds historique qui est toujours omniprésent dans l’aventure. En effet, l’histoire se passe juste après la première guerre mondiale dans une France ravagée où les anciens poilus tentent de réintégrer la vie sociale. Ce roman est très prenant et je n’ai pas pu le lâcher avant d’arriver à la dernière page. J’attends avec impatience la sortie du second tome de cette trilogie.

http://books-are-amazing.eklablog.fr/les-brumes-de-grandville-a115291510

Retrouvez toutes les chroniques de Books are amazing sur son blog :

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Des livres au féminin – Interview de Gwendoline Finaz de Villaine http://www.b-editions.com/?p=874 http://www.b-editions.com/?p=874#comments Thu, 19 Feb 2015 16:24:36 +0000 http://www.b-editions.com/?p=874 Difficile de passer à côté de cette nouvelle trilogie « Les Brumes de Grandville ».

Le public, le lectorat ne s’y sont pas trompés et le succès est incontestablement au rendez-vous. J’ai souhaité en connaître davantage sur son auteure.

Qui est-elle? Apollonie est-elle son double littéraire ? Des questions  auxquelles Gwendoline Finaz de Villaine a bien voulu répondre avec gentillesse et élégance.

Présentez-vous en quelques mots.

Bonjour Marilyn, je suis chanteuse et auteur, je vis aujourd’hui à Shanghai avec mon mari et mon fils Victor.

De formation lyrique, j’ai été chanteuse et comédienne dans des comédies musicales à Paris, dont « Attention Mesdames et Messieurs » avec Michel Fugain aux Folies Bergère en 2006. J’ai travaillé avec Roger Louret (Les Années Twist), Jean-Claude Camus (Johnny Hallyday) et Elie Chouraqui dans ce secteur pendant huit ans.

Parallèlement, je me suis passionnée pour l’écriture, montant un répertoire de chansons personnelles cabaret rock, enregistrant un album à Londres et commençant la rédaction d’une trilogie, Les Brumes de Grandville.

Pouvez-vous nous présenter votre ouvrage (Les Brumes de Grandville Tome 1 : Monotropa  Uniflora) ?

Les Brumes est un conte fantastique dont l’action se déroule à une période charnière, celle de l’après-Première Guerre mondiale. J’avais envie de développer une autofiction, inspirée de mon expérience personnelle, tout en permettant d’intégrer des éléments narratifs fictifs, qui parle d’amour, de musique et de rapports de classe.

J’ai essayé de retranscrire dans ce livre trois influences qui m’ont beaucoup marquées plus ou moins récemment : Jane Eyre, Twilight et Downton Abbey. 

 

Comment vous est venue l’inspiration pour l’écriture de ce premier tome ?

Je suis très fan de l’univers gothique des soeurs Brontë. En relisant le passage de l’apparition du fantôme de Katherine à la fenêtre, dans les Hauts de Hurlevent, je me suis souvenue de toute la frustration que j’avais eue, plus jeune, du fait que ce fantôme ne communique pas davantage avec Heatcliff, que leur histoire d’amour soit définitivement terminée. J’ai trouvé intéressant d’imaginer la même histoire à l’envers, le fantôme étant joué par le garçon cette fois-ci, qui interrogerait l’idée d’univers visible et invisible autour de nous, tout en étant le coeur d’une enquête à résoudre pour l’héroïne. Je voulais aussi réexplorer le mythe de Cendrillon à travers l’arrivée sociale d’une jeune orpheline, et interroger la question des rapports de classe de l’époque, en accordant une place tout aussi importante à la vie de la domesticité qu’à celle des classes dominantes.

 

Vous êtes-vous inspirée de votre vie personnelle pour la rédaction de Monotropa Uniflora ?

Oui, tout à fait. Je ne mentirais pas en disant que j’ai vécu beaucoup des situations qu’affronte Apollonie dans ce roman, ce qui va s’avérer encore plus vrai dans le tome 2 que je suis en train d’achever. En même temps, la magie du roman réside dans le fait que l’on revoit les événements de sa vie à travers le prisme de la fiction. Le contexte du livre permet de distiller des choses personnelles, tout en restant dans le cadre de l’imaginaire, c’est ce que je trouve très intéressant. Les choses sont donc plus complexes qu’elles ne semblent l’être de prime abord. En tout cas, 80% des personnages des Brumes existent dans la vraie vie, ils se sont d’ailleurs reconnus en lisant le livre !

Quelles relations entretenez-vous avec le personnage principal, Apollonie ?

Une relation très simple, puisque c’est moi, entièrement et totalement ! Je n’ai pas eu à aller le chercher très loin, puisque chaque réaction, chaque pensée, chaque ressenti est le mien. Comme Charlotte Brontë qui parlait de son expérience personnelle à travers le personnage de Jane Eyre, je peux dire que je suis Apollonie Destrac. C’est pourquoi, cela m’amuse beaucoup de lire les réactions sur internet concernant Apollonie, et je ne me vexe pas de lire qu’elle est girouette, naïve ou tête brûlée, puisque tout cela est vrai ! J’étais ainsi à 16 ans, et Apollonie va grandir avec le temps, son caractère va s’affirmer avec les nouvelles épreuves qu’elle va traverser. Il est très important pour moi de bien faire comprendre aux lecteurs, dans la suite de ses aventures, qu’elle ne va pas simplement se réaliser par le biais de l’amour, ce qui pour moi est le premier révélateur au monde bien évidemment, mais qu’elle va trouver une nouvelle force, un nouveau champ d’exploitation personnel à travers sa passion et son don pour le chant.

Nous avons l’impression lors de la lecture de ce premier tome, qu’il est plus important pour Apollonie  de donner que de recevoir en amour. Etes-vous-vous même de cet avis ?

Oui, car Apollonie est très généreuse, en dépit du fait que la vie ne l’ait pas gâtée initialement. Je crois que cela tient aussi d’une forme de complexe social qui sous-tende toute sa relation aux Montfaucon. Apollonie vient d’une famille où on lui a inculqué le poids des différences de classe ; lorsqu’elle était chez les soeurs, elle a vécu les différents groupes de filles en fonction de leur origine sociale. Elle est très aguerrie aux réflexions du type « on ne se mélange pas ». Au fond d’elle, il ne se passe pas un jour sans qu’elle ne se dise qu’elle ne mérite pas Hector de Montfaucon, qu’il lui est trop supérieur pour qu’elle puisse un jour vivre une relation normale avec lui. De là l’idée du fantôme aussi. C’est peut-être cet état de fantôme qui lui permet de rééquilibrer un rapport mental biaisé entre elle et lui, car Hector est affaibli, il a besoin d’elle. Quoiqu’il en soit, c’est aussi une très grande amoureuse, et comme toutes les grandes amoureuses, elle pourrait tout donner par amour, jusqu’au sacrifice ultime d’elle-même.

Ce premier tome interroge également le rapport à la mort, l’existence de forces supérieures. Percevez-vous la mort telle une étape ou une fin inexorable ?

Je suis moi-même croyante, donc je crois à une vie après la mort qui ait du sens, du moins je l’espère. Il n’en demeure pas moins que je suis très sensible au monde invisible. J’ai eu l’occasion de le côtoyer un peu par le biais d’une médium, rencontrée par hasard il y a quelques temps, et moi qui étais très cartésienne à l’origine, j’ai compris que beaucoup de choses nous échappaient, indépendamment de nos croyances personnelles. Après, chacun est libre d’y croire ou pas. A l’époque, cette femme qui communiquait avec l’au-delà m’a dit que « les esprits » allaient m’aider à écrire ce livre, car ils aimaient l’histoire qui parlait d’eux aussi. Sans doute, car Les Brumes est pour moi un livre enchanté, qui est « sorti tout seul », en quatre mois. Il doit donc bien y avoir un peu de magie derrière tout ça.

Que vous a apporté l’écriture de ce premier tome ?

Un immense bonheur, comme la naissance d’un deuxième enfant. J’ai eu la chance d’être accompagnée par une maison d’édition de grande qualité, B. Editions, qui a beaucoup joué dans l’édification et la concrétisation de ce projet. L’aventure des Brumes n’aurait certainement pas été la même avec un autre partenaire, j’en suis persuadée, et je les en remercie encore.

 

Maintenant que nous avons lu le premier tome, il nous tarde de connaître la suite. Quand pourrons-nous lire la suite des aventures d’Apollonie ?

Je suis actuellement en train d’achever le deuxième tome des Brumes qui sera plus sombre que le premier, et explorera les thématiques du spectacle et de la mort notamment. La date de parution de celui-ci sera annoncé par mon éditeur.

Avez- vous déjà des projets cinématographiques pour cette trilogie?

Nous travaillons à ce que cela soit le cas, j’écris en tout cas la suite en rêvant de cette perspective, car les lecteurs m’y encouragent et beaucoup m’envoient des messages en espérant pouvoir voir un jour les aventures d’Apollonie et Hector adaptées sur grand écran.

Vous chantez, vous écrivez…D’où vous vient cet appétit pour la création ?

C’est quelque chose d’assez mystérieux. J’ai la chance de venir d’une famille d’artiste, mon grand-père était chansonnier, grand ami de Jacques Brel, mon père était danseur, il est devenu psychanalyste par la suite, nous avons été élevés sur une île en bordure de Marne près de Paris qui était un grand lieu de créativité. Je passais beaucoup de temps dans le grenier de cette maison, à coudre, dessiner, imaginer des mondes lointains. Nous nous ennuyons aussi beaucoup l’été, mais mon père disait que la créativité venait du fait de s’ennuyer, qu’il faut laisser les enfants s’ennuyer. En effet, je crois que cette appétence pour le fait d’être en création perpétuelle me vient d’un manque initial, sans doute un ennui assez fréquent et le fait de devoir inventer avec ce que l’on a, ce qui traîne à proximité : ainsi je découpais des rideaux, des vieilles robes de ma mère pour en faire des créations personnelles. Dès que je jouais du piano ou que je chantais, que j’inventais des chansons, mes parents venaient s’asseoir près de moi et m’encourageaient. Le fait de ne pas être « cassée » dans cet élan vital de création m’a permis de devenir ce que je suis. Je le dois à mes parents et à leur ouverture d’esprit artistique.

Si ce premier tome était un morceau de musique, lequel serait-il ?

Sans nul doute le Prélude en do dièse mineur de Rachmaninov, que joue Apollonie dans le premier chapitre de son arrivée à Grandville. Je l’ai écouté en boucle en rédigeant le tome 1

 

Quels sont vos projets pour l’avenir ?

Je termine la rédaction de la saga des Brumes, et remonte sur scène en mai à Shanghai, dans une revue cabaret rock dont je suis l’auteur, avec des musiciens et danseurs inspirés de l’univers jazz des années 20. Je reste accrochée à cette période qui me fascine.

Comment vous joindre ?

Par mail : alliance@live.fr ou à Paris, du 13 au 21 mars où je serai en dédicaces.

 

Un dernier mot pour vos lecteurs ?

J’ai une affection toute particulière pour les lecteurs des Brumes, je crois qu’une communauté est en train de naître autour de cette aventure, ce qui me rend très heureuse. J’ai pu échanger avec des lecteurs sur leur ressenti ; c’était très fort.

Chaque jour, je m’attable à mon ordinateur avec un seul et unique objectif, que la lecture de ce livre leur apporte du bonheur, de la force et de l’espérance pour l’avenir, et qu’elle « réenchante » leur quotidien, dans un monde qui, au regard des événements récents qui me touchent, semble avoir plus que jamais besoin de rêve et d’espoir.

Si vous n’avez encore lu ma chronique sur Les Brumes de Grandville, c’est par ici !

 

Retrouvez l’interview sur http://deslivresaufeminin.com/interview-de-gwendoline-finaz-de-villaine/

Retrouvez toute son actualité sur son blog : http://deslivresaufeminin.com/

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Des livres au féminin http://www.b-editions.com/?p=864 http://www.b-editions.com/?p=864#comments Mon, 16 Feb 2015 09:48:38 +0000 http://www.b-editions.com/?p=864 Avis du blog « Des livres au féminin » :

L’intrigue est passionnante, les personnages attachants.

L’histoire de « Les Brumes de Grandville, Monotropa Uniflora »:

Nous sommes au début du XX° siècle. Apollonie, 17 ans, a passé une grande partie de son enfance dans une institution religieuse. Son père, ne sachant que faire de cette jeune enfant au décès prématuré de son épouse l’avait confiée aux sœurs. Ce qui ne devait durer qu’un temps, va perdurer plusieurs années.

La guerre éclate, les hommes sont réquisitionnés, le père d’Apollonie comme de nombreux hommes, ne reviendra pas. On imagine cette institution débordée par le nombre d’orphelins à accueillir. Apollonie elle, n’est plus tout à fait une enfant, elle peut et doit voler de ses propres ailes. La guerre est finie et elle peut enfin goûter à la liberté ! Mais où aller ?

Elle part rejoindre le seul membre de sa famille qui lui reste, sa tante, Léopoldine. Par chance, cette dernière occupe une place de domestique au sein d’un magnifique château située près d’Ermenonville et puisqu’un miracle n’arrive seul, sa tante lui a trouvé un poste de professeur de musique.

Elle devra désormais dispenser des cours de chant et de musique aux filles de la Comtesse de Grandville.le moment est venu pour elle de vivre, libre tout en s’adonnant à sa passion pour la musique.

Son arrivée dépasse toutes ses espérances : elle est subjuguée par la beauté du Château, ses jardins, ses espaces à n’en plus finir …Une chambre à elle seule, une patronne avenante, douce, tout est au-delà de ce qu’elle aurait pu imaginer, espérer .Mais, les évènements, rapidement, vont se bousculer lui rendant cette vie de château plus difficile qu’elle ne l’aurait cru…Elle va en premier lieu devoir faire face à la mesquinerie de ses deux élèves , Lisandre et Eugénie qui se révèlent être de véritables petites pestes mais pas seulement. Le retour du fils prodige au château va bouleverser durablement sa vie .Le château et ses habitants sont en effervescence, il est enfin de retour, lui, l’enfant d’une beauté insolente et d’un charme fou .Il a combattu l’ennemi et revient enfin pour le grand plaisir de tous ou presque .Hector est vivant mais il semble si différent…Certes, il est d’une beauté à couper mais le souffle mais le personnage est odieux, pervers, malsain…Pourtant, elle doit bien l’admettre, elle n’est pas insensible à son charme et quand, ce dernier lui arrache un baiser, elle est déstabilisée…Une voix, une présence va l’extirper de cette relation naissante surgissant en pleine nuit. Terrorisée, elle tombera rapidement sous le charme de cette apparition …Il dit être le véritable maître des lieux et accuse Hector, d’être un usurpateur…

 

Mon avis sur « Les Brumes de Grandville, Monotropa Uniflora »

L’intrigue est passionnante, les personnages attachants. On pense savoir, puis, on doute, on émet des hypothèses, on ne sait plus très bien…Apollonie a-t-elle perdu la raison ? Cette apparition est-elle démoniaque ? Est-elle même une apparition ou bien est-elle réelle ? On en perd notre latin et ce n’est pas sans une pointe de frustration que j’ai dû repousser la fin de ma lecture au lendemain, épuisée.

Bref, vous l’aurez compris, je suis conquise par ce premier tome et attends avec hâte le second…

Un grand merci aux B  Editions pour cette jolie découverte !

Retrouvez l’article http://deslivresaufeminin.com/les-brumes-de-grandville-monotropa-uniflora/

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Les lectures de Didinebzh29 http://www.b-editions.com/?p=856 http://www.b-editions.com/?p=856#comments Tue, 03 Feb 2015 13:54:33 +0000 http://www.b-editions.com/?p=856 Avis du blog « Les lectures de Didinebzh29 » :

J’avais remarqué ce livre grâce à sa couverture que je trouve belle et attirante qui fait planer un mystère que je voulais absolument découvrir. Je remercie grandement Babelio et les Editions B. pour m’avoir permise de faire cette découverte.

Nous sommes, dans ce livre, à la sortie de la 1ere guerre mondiale dans une France qui panse ses plaies et honore ses morts (les vivants ont s’en occupera après !). Ce côté historique est en arrière-plan mais présent quand même au sein de l’histoire. On trouve Apollonie, toute jeune fille orpheline élevée dans un couvent, qui arrive comme professeure de musique au château de Grandville ; Elle y fait la connaissance, entre autre, du fils de la comtesse qui vient de revenir de la guerre. Dans les mêmes temps, elle va tomber sous le charme d’une voix fantomatique. A partir de là, on entre dans une enquête bien mystérieuse qu’Apollonie va mener avec l’aide de cette voix …

Apollonie est très attachante par son comportement et ses réflexions. Le fils de la comtesse est franchement détestable. Les autres personnages ont bien leur place dans l’histoire et amène une certaine réalité dans ce roman un peu fantastique.

L’histoire est tout simplement belle. Le contexte est très bien choisi, je trouve, et bien exploité sans que cela ne devienne trop lourd. Le coté romance est présent mais pas trop et le coté fantastique amène une pointe de mystère bienvenue et originale. Des rebondissements bien placés donnent du piment à cette histoire et font qu’il n’y a aucun ennui qui s’installe pendant la lecture.

Le style de l’auteur est fluide mais très travaillé : elle mêle à la narration du langage soutenu et du patois de la région dans les dialogues mais aucun problème de compréhension, je vous rassure. A cela s’ajoute un savant mélange de narration et de dialogue, qui donne du rythme à la lecture. Elle a fait aussi le choix de raconter cette histoire à la 1ere personne, à travers les yeux d’Apollonie. Ce choix est très judicieux et nous permet de nous plonger réellement dans le roman dès le début, d’être plus proche d’Apollonie. On sent bien aussi le passé de l’auteure à travers les connaissances musicales qui sont distillées au fil des pages sans que cela alourdissent le roman.

En bref, j’ai beaucoup aimé ce livre grâce au contexte choisi, au personnage principal auquel on s’attache facilement, à l’histoire que je trouve très belle et mystérieuse.

Ce roman est annoncé comme un tome 1 et il me tarde de retrouver Apollonie et Hector dans la suite de cette saga.

http://les-lectures-de-didinezbh29.blogspot.fr/2015/02/gwendoline-finaz-de-villaine-les-brumes_1.html

Retrouvez toutes les chroniques des Lectures de Didinebzh29 sur son blog :

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Meloufoka http://www.b-editions.com/?p=843 http://www.b-editions.com/?p=843#comments Tue, 13 Jan 2015 09:14:55 +0000 http://www.b-editions.com/?p=843 Avis du blog « Meloufoka » :

Ce livre est pour toi si tu aimes les romances paranormales, Les fantômes et les années folles

Resumé

Peut-on tomber amoureuse d’une simple voix, d’un esprit, sans y perdre son âme ?

1919. Au lendemain de la Première Guerre Mondiale, Apollonie devient professeur de musique. Belle, libre et déterminée, la jeune orpheline découvre la vie au château de Grandville. Elle ne tarde pas à faire la connaissance du fils de la Comtesse, le magnétique et mystérieux Hector, dont la beauté n’a d’égale que le cynisme. Apollonie, encore troublée par cette rencontre, tombe sous le charme indécent d’une voix mystérieuse sortie des ombres …

Jack a dit

Rares sont les livres qui même en coup de cœur ne m’ont pas présenté un seul bémol….

Quel chance j’ai depuis le début de l’année!!! J’enchaine d’excellentes lectures!!!!!!

Ce fut le cas pour  Les brumes de Grandville ! Aucuns défauts ! Sublime !

L’histoire se passe à l’époque des années folles où Appolonie, nièce d’une des employés de la comtesse de Grandville , devient la professeur de musique des 2 filles de cette dernière. C’est l’après-guerre et Hector le fils revient enfin au château après des années passées au combat. Un soir alors qu’elle dormait sous les combles, une sorte d’esprit lui apparait et commença une bien étrange histoire^^

Ce mélange de fantastique sous fond de romance historique m’a bluffé ! L’auteure a su manier avec ses petits doigts de fée livresque, une histoire tout simplement magnifique et parfaite ! Plus les pages passaient, plus je voyais que ma chère lecture allait finir :-/ . J’étais très triste de l’avoir aussi rapidement lu, tellement j’en voulais encore, vu la qualité du texte et surtout l’intrigue !

J’ai spéculé beaucoup sur ce qui s’était passé etc et bien je n’avais point trouvé^^ Tant mieux dans un sens car ça m’a apporté encore + de plaisir à le lire.

Cette romance, on peut le dire, paranormale est superbement dosée et je n’ai relevé aucune mais aucunnnne longueur. L’époque déjà est très originale, moi j’adore cette période alors que du pure bonheur ! ( chuis fan de Boardwalk empire^^)

Vous l’aurez compris cette lecture m’a profondément touché et plu^^

N’attendez plus si vous voulez passer un bon moment avec une romance (un peu de douceur dans ce monde de brute^^) pas gnangnan, pas facile et superbement écrite !

Le tome 2 est déjà dans mon budget 2015^^ Et si vous ne l’avez pas encore cliquez ici—>Edition b

 

10/10

Ma meilleure romance jamais lue!

 

http://meloufoka.blog4ever.com/les-brumes-de-grandville-de-gwendoline-finaz-de-villaine

 

Retrouvez toutes les chroniques de Meloufoka sur son blog :

http://meloufoka.blog4ever.com/

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La Bibliothèque de Glow http://www.b-editions.com/?p=837 http://www.b-editions.com/?p=837#comments Mon, 05 Jan 2015 09:08:43 +0000 http://www.b-editions.com/?p=837 Avis du blog « La Bibliothèque de Glow » :

Un luxueux domaine dans la France de l’après-guerre où un amour singulier va naître…

Premier roman de Gwendoline Finaz de Villaine, Monotropa Uniflora inaugure une nouvelle série en trois tomes… chez un tout nouvel éditeur. En effet, l’ouvrage est le premier paru chez B. Éditions et se destine à un lectorat de jeunes adultes.

L’auteur a un parcours très artistique : participations à des comédies musicales, travail d’auteur-compositeur, et maintenant écrivain. A l’occasion de la sortie du livre, un clip a été réalisé par l’auteur sous le nom Mort ou vivant interprété par Sacha Tran que vous pouvez retrouver ici sur le site You Tube (à vous de juger si vous le trouvez à votre goût, mais personnellement, je ne suis pas une férue de comédies musicales). Les paroles et la composition de cette chanson sont signés par l’auteur elle-même.

L’histoire est celle d’une romance impossible entre une jeune femme et un jeune homme inaccessible de par son rang, mais également à cause de son état… entre deux mondes.

 

Un immense domaine bourgeois, des domestiques à profusion et une nouvelle professeure de musique

Quand débute le récit, Apollonie franchit les portes du domaine de Grandville. Orpheline élevée chez les sœurs, la jeune femme excelle dans le domaine de la musique qu’elle a appris toute jeune. Piano, chant classique, solfège… Apollonie à de nombreuses cordes à son arc. Quand elle débarque à Grandville grâce aux recommandations de sa tante qui y travaille également, Apollonie découvre un univers tout en retenue et en faux-semblants. Les sœurs jumelles dont elle doit faire l’éducation musicale sont tout sauf dociles et sont bien décidées à lui compliquer autant que possible sa tâche…

Tout cela sans parler du retour du fils prodigue revenu tout juste de la guerre : le bel Hector. Troublant, charismatique, toutes les femmes tombent sous son charme… y compris Apollonie.

 

Jeu de dupes et surnaturel… dans une ambiance superbement retranscrite

Peu après que l’environnement de Grandville ait été décrit avec adresse, Apollonie se retrouve confrontée au fantastique : une voix venue d’elle ne sait où lui parle quand elle s’apprête à aller dormir. Ce fantôme lui veut-il du mal ou cherche-t-il autre chose ?

C’est à partir de ce moment que tout bascule : Apollonie se découvre une affection particulière pour cet esprit qui communique avec elle. En parallèle à la partie imaginaire du roman, la vie au sein du domaine est également de plus en plus intéressante. On y découvre les différents valets, cuisinières, et autres petites mains au service de la Comtesse, le tout nous offrant une belle fresque. Ceci n’est pas sans faire penser à l’ambiance de la série Downtown Abbey (se déroulant presque à la même époque à 8 ans près) ou plus largement à ces romans où la domesticité prend une place importante dans l’histoire.

Les travers de chacun rendent l’histoire plus prégnante, plus réelle, et c’est avec plaisir et curiosité que l’on se plonge dans cette époque révolue mais qui fait toujours rêver.

Plus on avance dans l’intrigue et plus le côté fantastique de l’œuvre prend de la place, une romance impossible s’installant entre Apollonie et le fameux esprit qui hante le domaine… C’est parfois un peu trop fleur bleue à mon goût, mais on se laisse malgré tout prendre au jeu des sentiments et des personnalités si différentes créées par l’auteur. C’est ainsi une romance réussie sur de nombreux plans.

Ainsi, même si certains revirements sont attendus, le tout reste extrêmement plaisant à lire.

Donc, si vous avez envie de lire une belle histoire d’amour avec un soupçon de surnaturel à l’époque des Années Folles avec une forte influence de la Belle Époque… c’est le roman idéal. Dès l’âge de 14 ans environ.

Et pour ceux qui se demandent ce que signifie le mystérieux titre Monotropa Uniflora, je vous conseille de jeter un œil sur le nom latin d’une certaine plante… Le second tome de la série est actuellement en préparation, et ici, nous l’attendons avec impatience !

 

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Les lectures de Rebecca http://www.b-editions.com/?p=821 http://www.b-editions.com/?p=821#comments Wed, 03 Dec 2014 15:34:42 +0000 http://www.b-editions.com/?p=821 Avis du blog « Les lectures de Rebecca » :

Mon avis : Ce roman est une véritable apothéose. A la fois grandiose et bouleversant, il mêle intrigue et romance sans que l’un prenne le pas sur l’autre.

Au niveau des personnages, c’est un sans-faute, car ils sont tous très intéressants et possèdent des faces cachées insoupçonnées. Apollonie est une héroïne très courageuse et touchante, qui se retrouve au cœur d’évènements qui la dépassent. Le fantôme est sans conteste le personnage qui soulève le plus de question : qui est-il ? Que veut-il à Apollonie ? Est-il mort ou vivant ? C’est un personnage omniprésent et très troublant, qui nous révèlera le fin mot de l’histoire et guidera Apollonie à travers le château et les pièges. Pour vous dire deux mots à propos d’Hector, il est très différent de ce que l’on pourrait croire. Quant à la tante Léopoldine, c’est elle aussi un personnage très ambigu.

Toutes ces questions que soulèvent chaque personnage améliore la qualité d’un roman dont l’histoire est déjà très riche et pleine de rebondissements inattendus.

J’ai été totalement transportée dans l’histoire du roman, me retrouvant sans problème dans cette époque d’après-guerre. En effet, malgré le faste du château, on sent la présence de la guerre qui est passée par là.

Je suis tombée sous le charme de la plume de cette auteure très prometteuse et ai hâte de voir ce qu’elle nous réserve pour la suite de cette série qui commence en beauté.

 

Ma notation :

Le plus gros coup de de tous les temps

 

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